Bernard, la fureur de vivre – Catherine Siguret & Dominique Tapie

Soudés durant cinquante-deux ans, Dominique et Bernard Tapie ont tout connu, la gloire et l’opprobre, le luxe et la ruine, les retours en grâce et les défaites… Face à un Bernard Tapie que l’on découvre aussi infatigable, excessif et imprévisible à la maison que dans sa vie publique, mais aussi terriblement jaloux et possessif, il fallait partir ou suivre. Dominique Tapie a fait mieux?: elle a décidé de résister. Présente mais rebelle, aimante mais critique, elle l’a mis en garde contre ses propres démons. Gardienne du «?clan?», elle a tenu la barre fermement. On a cru l’épouse effacée car médiatiquement discrète, le couple tranquille car secret. On le découvre au contraire passionnel, en état de séduction permanent, en insurrection fréquente. C’est cet amour de deux rebelles qui se sont dit oui, pour le meilleur et pour le pire, qu’elle dévoile pour la première fois. Il a fallu la disparition de l’homme de sa vie pour que Dominique Tapie mesure qu’à 19 ans, elle n’avait pas seulement rencontré un homme mais un destin, qui continue de peser sur elle, au nom de la solidarité conjugale, sous la forme d’une montagne de dettes. Plus qu’une biographie, un récit follement romanesque.

BIOGRAPHIE & INFORMATIONS

Nationalité : France
Né(e) le : 29/11/1969
Biographie :

Écrivain et journaliste française.

Elle est l’auteur d’une cinquantaine de livres en nom propre (romans, essais, carnets d’humour), pour le compte de vedettes, psychiatres et psychanalystes, témoins de société (nègre littéraire) ou sous les pseudonymes de « Agathe Ward » (« Télécruella » en 2007) ou « CatSig » (« Celle qui couche avec les autres » en 2010)

Elle collabore de façon permanente à la presse écrite et épisodique à la radio ou à la télévision.

Après les classes préparatoires classiques au Lycée Louis le Grand (1988-89-90) à Paris, elle fait une licence et un DEA de Philosophie consacrés à Leibniz, sur le thème de « la liberté, le destin et la grâce de Dieu » dans l’œuvre du philosophe allemand à partir d’opuscules latins inédits et intraduits (Sorbonne 1990-1991).

Elle fait ses premiers pas de journaliste à Bas les masques chez Mireille Dumas (1992), y découvre le goût des gens et écrit ses premières « autobiographies » comme nègre (tous ses livres sont néanmoins signés). Elle alterne à compter de cette date « autobiographies » pour le compte d’anonymes éprouvés par la vie ou de célébrités, marchant au « coup de foudre » au gré de ses rencontres. Elle a raconté cette aspect de sa vie professionnelle dans « Enfin Nue » (Intervista, 2008)

Après une dizaine de livres, elle écrit son premier roman « A la folie, je t’aime » (éditions1/Calmann Levy), en 1999, sur le thème de l’aliénation, qui reçoit un bel accueil de la critique.

Depuis 1999, elle écrit des livres personnels, en alternance avec des livres pour le compte des autres.

Elle mène de front télévision, presse écrite, et écriture, avec des phases monomaniaques. Elle a été journaliste et chroniqueuse spécialisée dans les sujets société à Sans Aucun Doute (1997-1998), rédactrice en chef de Ciel mon mardi (2000) et Y a pas photo, sur TF1. Elle a également été chroniqueuse sur France 3 dans des sketchs filmés (Jules et les filles, France 3, 2006), en quotidienne sur Morandini ! (Direct 8, 2007-2008) durant deux ans, ou dans les Maternelles (2009). Elle est l’auteur d’un Zone interdite consacré aux mères en prison.

En presse écrite, Catherine Siguret écrit chaque mois depuis 1994 des témoignages dans Maxi, et des papiers « psy » ou société dans Questions de femmes.

  • Éditeur ‏ : ‎ L’OBSERVATOIRE; Illustrated édition (22 mars 2023)
  • Note moyenne: 3/5   1 notes

 

Connectez-vous ou achetez-le sur Amazon pour télécharger cet EPUB.

par Remy

Laisser un commentaire