Revue de presse

DÉSERTEUR

« Un roman halluciné, où la technologie s’habille d’une dimension fantastique (…) une sorte de Rivage des Syrtes postmoderne. »
Bernard Fauconnier, Le Magazine littéraire

« Bergmann enfant spirituel de Philip K. Dick, pose l’éternelle question de la technique. […] Devant la dictature des écrans, la solution de Bergmann est la bonne : désertons ! »
Sylvain Tesson, Lire

« Le sujet est aride, l’écriture l’est aussi durant trente pages avant de se faire inventive, précise, surprenante de maîtrise »
Aurélie Raya, Paris Match

« Avec un style vif et nerveux qui peut rappeler le Maurice Dantec de Babylone Babies, le fan de rock garage, de soul et de la house de Chicago s’émancipe aux travers de ces pages parfois amères et désabusées, mais toujours justifiées par une réflexion finalement assez rare dans le chef de cette génération qui n’a pas connu la « vraie » guerre ni le service militaire. »
Philippe Manche, Le Soir

« Ce romancier prometteur veut déranger et c’est d’ailleurs la première mission qu’il assigne à la littérature. »
Vincent Roy, Transfuge

« Dans ce roman génialement glaçant ne résistent au désastre que les mots, leur flot et leur force. »
Marie Chaudey, La Vie

« Aussi aride que le désert qu’elle raconte si bien, rapide et sans états d’âmes, l’écriture de Boris Bergmann est efficace, des débuts retraçant le quotidien de ce jeune geek parisien aux dernières pages perdues dans le sable et le soleil. Un roman qui interroge nos peurs contemporaines. »
Sophie Rosemont, Vanityfair.fr. Lire la chronique

« Fascinant roman, impressionnant de maturité et de grâce. »
Myriam Berghe, Femmes d’aujourd’hui

« Constat blasé, écriture aiguisée, non dénuée d’éclats poétiques. A 24 ans seulement, Bergmann signe un troisième roman aux allures de fable. Brillant. »
Nedjma Van Egmond, Le Parisien Magazine / Aujourd’hui en France 

 

Présentation de l’éditeur

Qui se cache derrière le « Je » de ce journal intime ? Un jeune hacker talentueux en quête d’engagement, dans une France décharnée qui vient de déclarer la guerre au califat. Par désespoir amoureux, il décide de rejoindre l’armée. On lui confie aussitôt la programmation des drones qui survolent nos confl its, les ratissant « cliniquement ». Envoyé en mission sur une base militaire du Proche-Orient, il découvre alors de jeunes soldats à la ferveur broyée par l’inaction. Les drones mènent désormais la guerre à leur place. « Je », ostracisé, pianote à l’infini la défense d’un pays qui déshumanise le combat pour mieux tuer. 
 
En nous plongeant dans un futur si proche qu’il nous ressemble et dans les entrailles d’une jeunesse aux causes floutées, Boris Bergmann nous livre un roman aussi dompté qu’agile. Une lecture ardente servie par un style vif et ingénieux qui nous transporte dans une fascinante expérience de terrain où le sol ne fait que se dérober.

Avec Déserteur, Boris Bergmann a remporté le Prix des Jeunes Romanciers Le Touquet-Paris-Plage Prix du Jury 2016.
 

À propos de Viens là que je te tue ma belle :
 
« La critique littéraire lui décerne un 18/20. »
Frédéric Beigbeder, Playboy
 
« Il a failli ravir le prix de Flore à Amélie Nothomb. La révélation
littéraire de cette rentrée, à défaut d’une fin de siècle. »
Philippe Combres, Double
 
« Avec son style choc et épuré, Boris Bergmann fait jaillir des
étincelles de poésie, presque de maturité. »
Julia Cerrone, Paris Match
 

Biographie de l’auteur

Dès l’adolescence, Boris Bergmann éblouit la scène littéraire, avec son premier roman Viens là que je te tue ma belle, couronné exceptionnellement en 2007 par un prix de Flore des lycéens créé pour lui. Véritable phénomène d’édition tant par sa jeunesse que par son talent, il publie chez Calmann-Lévy Déserteur, son troisième roman.

Editeur : Calmann-Lévy (17 août 2016)

par Remy

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