XXY – Le faussaire de Turin – Jean-Michel Ollivier

Le suaire exposé à Turin est un faux contemporain qui a été substitué à l’original. Pourquoi ? Comment ? Où est l’original ? Et qui est le faussaire génial ?
Daech a eu vent de la substitution et veut récupérer l’original pour le brûler place Saint Pierre. Une équipe improbable part pour une quête passant par Paris, Tours, Grenoble et bien sûr Turin, poursuivie par Daech.
En fait, un des membres, Morhange, est le pivot central de l’intrigue. Expert en art sacré, il voit mieux que les autres les indices semés par le faussaire. La course avec Daech devient pour lui la quête de son identité propre.
L’amour s’en mêle, plus la génétique, l’hypnose, les secrets des origines, la trahison, la course contre la montre. Et l’intrigue se résout de façon inattendue.

BIOGRAPHIE & INFORMATIONS

Nationalité : Suisse
Né(e) à : Nyon , le 18/12/1952
Biographie :

Jean-Michel Olivier naît le 18 décembre 1952 à Nyon, dans le canton de Vaud2.

Après une maturité classique, il entreprend des études de lettres à l’Université de Genève où il a pour professeurs Jean Starobinski, Jean Rousset, Michel Butor et Roger Dragonetti. Son mémoire de français sous le titre Lautréamont, le texte du vampire dirigé par Lucien Dällenbach obtient le Prix Hentsch en 19783. En 1979 il s’inscrit au séminaire de Jacques Derrida à l’École supérieure[Laquelle ?] à Paris qu’il suit deux ans[pas clair]4.

C’est le début d’une carrière littéraire où essais et textes de fiction alternent. Jean-Michel Olivier écrit pratiquement un livre par année, nourri de ses rencontres avec des artistes (le peintre René Feurer, le graveur Marc Jurt, le photographe Jacques Pugin) ou puisant, pour ce qui concerne le roman, dans son expérience personnelle. Si l’un de ses sujets de prédilection est la femme L’homme de cendre, L’amour fantôme, Jean-Michel Olivier ne se délecte pas moins de la réalité romande Les innocents. Il reçoit en 1999 le Prix artistique de la ville de Nyon pour l’ensemble de son œuvre.

Nommé professeur de français et d’anglais au collège de Saussure en 1978[réf. nécessaire], où il enseigne jusqu’en 20162, Jean-Michel Olivier préside à la naissance de revues : La main de singe, Contrepoints5 et participe à la création de Scènes Magazine6, mensuel d’actualités culturelles. Jean-Michel Olivier est également critique de théâtre, de musique et de littérature à la Tribune de Genève et au quotidien La Suisse, de 1987 à 1994. En 1995, professeur invité à l’Université du Michigan, il présente un cours sur le thème « Littérature et histoire des idées en Suisse au 20e siècle ».

Directeur depuis 2006 de la collection « poche Suisse » aux éditions L’Âge d’Homme, il préside également le jury du Prix Édouard-Rod, remis chaque année à la Fondation de l’Estrée à Ropraz7,8. Il est l’un des membres fondateurs de la Fondation Marc Jurt, présidée par Philippe Kenel9,10.

Dans son roman L’ami barbare, qui est une biographie romancée et à clef de Vladimir Dimitrijević, il se met lui-même en scène sous le nom de Pierre Michel.

Il est marié et père de deux enfants, issus de deux unions différentes

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par Remy

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